Hi-Tech
Bugs à répétition: Les serveurs de voyages-sncf.com étaient situés sur un ancien cimetière indien
Bugs à répétition, problèmes de prix, surfacturation ou parfois impossibilité d’obtenir le prix demandé, commander un billet de train sur le site de la sncf : “voyages-scnf.com » a souvent relevé du parcours du combattant. Les techniciens SNCF, intrigués par des milliers de plaintes en souffrance depuis des années, se sont penchés sur le problème et ont découvert à leur grande surprise que la salle des serveurs du site avait été construite sur l’emplacement d’un ancien cimetière indien.
Bugs à répétition, problèmes de prix, surfacturation ou parfois impossibilité d’obtenir le prix demandé, commander un billet de train sur le site de la sncf : “voyages-scnf.com » a souvent relevé du parcours du combattant. Les techniciens SNCF, intrigués par des milliers de plaintes en souffrance depuis des années, se sont penchés sur le problème et ont découvert à leur grande surprise que la salle des serveurs du site avait été construite sur l’emplacement d’un ancien cimetière indien.
Étonnante découverte pour les ingénieurs de la SNCF qui tentaient de comprendre pourquoi autant d’utilisateurs du site voyages.sncf avaient de telles difficultés pour commander leur billet de train. Et pour cause, la salle des serveurs du site se situe sur l’emplacement d’un ancien cimetière indien. « On avait tout étudié. On pensait qu’il s’agissait du software, du hardware. On a même pensé à éteindre, puis rallumer, sans succès » explique un des ingénieurs qui ont passé des mois au diagnostic des installations avant de se plonger dans l’examen du plan d’occupation des sols.
Et là, surprise. La totalité de la salle des serveurs du site est située à l’endroit exact où se trouvait autrefois un cimetière indien. « Quand on a déterminé cela, pour nous, tout a été clair. Ce n’était pas la faute de la SNCF ou d’un utilisateur qui ne sait pas se servir de son navigateur internet » explique un porte-parole de la SNCF. « Le cimetière a été très actif au siècle dernier puis oublié. Il semble que lorsque le bâtiment a été construit, le sol a été simplement remblayé, il y a sans doute des corps juste sous la dalle ». Une mésaventure qui n’est pas sans rappeler celle du stade de la Route de Lorient, à Rennes en 2004.
La SNCF a annoncé l’intervention prochaine de plusieurs exorcistes destinés à calmer ces esprits malfaisants. « Nous allons mener diverses opérations de nettoyage spectral avec des spécialistes, notamment de New-York » a annoncé un porte-parole. Une autre source affirmait que la société examinait la possibilité de poursuivre les descendants de ces esprits pour « vandalisme et destruction volontaire de données », des pertes qui, au fil des années, pourraient se chiffrer à plusieurs millions d’euros. Et toujours selon cette même source « Ce bâtiment n’a jamais été construit intentionnellement pour les profaner, ils oublient que nous avons une entreprise à faire tourner et des clients à servir ».
La Rédaction
Photo: .shock /iStock