Connect with us

Société

Ivre, elle lit l’intégralité des conditions d’utilisation d’iTunes

Encore un comportement pour le moins insolite provoqué par les effets de l’alcool. Selon le récit du Dauphiné Libéré, une habitante de Grenoble dans l’Isère aurait pris de longues minutes pour lire et approuver l’ensemble des conditions générales du service d’Apple alors qu’elle était à 4,5 grammes selon les gendarmes qui sont intervenus à son domicile. Récit.

Publié le

 mar 


C’est donc après une soirée visiblement bien arrosée jeudi dernier que Céline Hervieu est rentrée chez elle. Une fois à son domicile, cette dernière se pose devant son ordinateur. Elle aperçoit alors un message lui indiquant qu’iTunes, le logiciel de lecture et de gestion de bibliothèque multimédia, nécessite une mise à jour.

Eméchée, Céline décide de suivre la procédure et se retrouve alors devant une page entière de conditions générales d’utilisation à lire et à approuver numériquement pour commencer effectivement la mise à jour. Ce qu’elle fait. « Je ne me souviens plus trop de ce qui s’est passé. J’ai juste des images de moi devant mon ordi en train de lire chaque ligne des conditions d’Apple. »

Réveillé par le bruit provoqué par sa compagne, c’est Laurent, son compagnon qui alertera la gendarmerie : « Elle lisait à voix haute toutes les phrases en réfléchissant vraiment pour savoir si elle était en accord ou non avec ces conditions ; elle était comme possédée. »

Moins d’une demi-heure après, les forces de l’ordre arrivent au domicile de Céline Hervieu. Ils la trouvent en train de parcourir le dernier article des conditions d’utilisation. « On a rarement ce type de comportement qui laisse envisager une personnalité aussi extrême que déterminée. Dans ce genre de cas il faut faire preuve d’une grande prudence et mettre hors d’état de nuire l’individu dès que possible » explique la gardienne de l’immeuble où habite Céline Hervieu.

Plein de projets

Finalement c’est juste après avoir lu l’intégralité du texte et accepté les conditions en cochant une case que cette dernière sera neutralisée par les gendarmes à l’aide d’un taser. La femme de 31 ans a finalement terminé la nuit au commissariat du centre-ville.

À la sortie du poste de police, interrogée par les journalistes présents, cette dernière affirme avoir été contactée par « plusieurs producteurs » qui souhaitent adapter son histoire au cinéma.

La Rédaction

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement

La newsletter Legorafi

* indicates required

Les plus consultés