Société
Encore une noyade dans la colocation suite à la mystérieuse disparition de l’échelle de la piscine
C’est la troisième fois en trois jours. Une jeune femme a été retrouvée noyée dans la piscine d’une colocation qu’elle occupait avec plusieurs de ses amis. Selon la police, c’est encore le même schéma déjà constaté auparavant dans deux autres affaires cette semaine: une personne a retiré l’échelle de la piscine. La victime nage alors en vain plusieurs longues minutes jusqu’à épuisement et se noie.
C’est la troisième fois en trois jours. Une jeune femme a été retrouvée noyée dans la piscine d’une colocation qu’elle occupait avec plusieurs de ses amis. Selon la police, c’est encore le même schéma déjà constaté auparavant dans deux autres affaires cette semaine: une personne a retiré l’échelle de la piscine. La victime nage alors en vain plusieurs longues minutes jusqu’à épuisement et se noie.
«La première fois avec Carl on a pensé à un accident. Puis il y a eu Simon. Puis Maud » raconte Sonia, une des deux colocataires survivantes. Blandine, l’autre colocataire, parle d’une psychose maintenant bien réelle : celle d’aller dans la piscine et qu’une fois de plus, l’échelle, disparaisse. « Je ne veux pas y aller mais parfois je ressens quelque chose au fond de moi qui me pousse à y aller, je n’arrive pas à lutter » raconte-t-elle avant de pleurer à chaudes larmes.
La police n’a pas encore été en mesure de dresser un portrait robot du ou des présumés coupables. Mais tous les locataires de la maison avaient déjà à plusieurs reprises constaté des événements étranges, comme si quelqu’un vivait à loisir dans la demeure sans jamais être vu. « Un matin, j’ai constaté que nous avions un lave-vaisselle tout neuf, alors que la veille, il était presque en panne » raconte Blandine. « Il y a quelqu’un qui m’observe, je le sens, j’ai cette sensation d’être épiée en permanence » confit Sonia
À l’issue de la conférence de presse, les deux jeunes filles ont alors brutalement constaté que tous les meubles de leur maison venaient aussi de disparaître et qu’elles étaient désormais forcées de vivre dans de petites pièces de moins de cinq mètres carrés sans porte ni fenêtre, avec juste une toilette et un frigo.
La Rédaction