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Dark Vador : « Mon but c’est de dédiaboliser le côté obscur »

Fauteuils en cuir ignifugé, tapisseries en fourrure d’Ewok. Dark Vador nous reçoit dans ses appartements cosy du 3ème district de l’Etoile Noire. Habillé dans un style sombre et sobre, il nous invite à nous asseoir sur le canapé noir, face à la large baie vitrée donnant la galaxie d’Andromède. Le ton est tout de suite cordial.

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« Monsieur Vador…

Je vous en prie, appelez-moi Dark…

Dark, quels sont vos projets pour le côté obscur cette année ?

Ma préoccupation est de répondre au mieux aux attentes des Seigneurs Sith qui m’ont fait confiance pour diriger le côté obscur. Je prévois une série de mesures concrètes, comme des séminaires de colère avec le visionnage de l’intégralité des interventions d’Eric Zemmour pour développer l’agressivité et la rancœur, un meilleur contrôle de la Force grâce à des formations encadrées notamment par Pascal le grand frère, et bien sûr une couverture sociale plus efficace en cas de cassure de son sabre laser, incident assez fréquent dans l’exercice de notre métier.

Le côté obscur a souvent souffert d’une image négative auprès du grand public. Comment expliquez-vous cela ?

Selon moi, c’est dû aux journalistes et aux producteurs proches du bon côté de la Force qui livrent une vision peu objective du côté obscur. Je pense bien sûr à George Lucas, mais également aux studios Disney qui nous associent uniquement à la terreur et à une obsession pour la destruction des Jedi. Le côté obscur c’est bien plus que cela : nous voulons fédérer les peuples sous une seule et même dictature galactique pour offrir une alternative au système capitaliste de l’Alliance Rebelle. Et pour ça il faut travailler notre image. Mon but, c’est de dédiaboliser le côté obscur.

Il y a eu des rumeurs de tensions entre le sénateur Palpatine et vous. Vous les confirmez ?

Nous avons quelques désaccords mineurs, comme sur l’usage des éclairs lors des combats contre les Jedi, qui appartiennent selon moi à une autre époque, ou sur le fait de décimer les peuples inférieurs par milliers alors qu’il me semble plus judicieux de les réduire en esclavage, mais il reste un membre influent du côté obscur.

Vous parlez de peuples inférieurs, certains vous accusent de xénophobie, notamment envers les Ewoks. Qu’avez-vous à leur répondre ?

Je n’aime pas beaucoup ce terme. Vous savez, je n’ai rien contre les Ewoks, je pense juste qu’ils sont mieux chez eux, sur la planète d’Endor, ou alors transformés en tapis au coin de ma cheminée pour les longues soirées d’hiver (Rires). Plus sérieusement, le côté obscur réunit des membres de nombreuses espèces, mais l’Empire ne peut pas accueillir toutes les formes de vie primitives de l’Univers.

Pour finir, avez-vous un message pour les jeunes qui nous lisent ?

Oui, je souhaite leur dire que le côté obscur est ouvert à tous ceux qui souhaitent le rejoindre, en particulier aux personnalités guidées par la colère et assoiffées de vengeance, sans exclure les Jedi qui souhaiteraient basculer de l’autre côté de la Force.

La Rédaction

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