Politique
Le Parti socialiste pourrait créer la surprise en 3515
Les experts politiques sont arrivés à la conclusion que non, le Parti socialiste n’a pas totalement disparu. En outre, il pourrait créer la surprise aux élections présidentielles de 3515. Reportage.
Les experts mettent en avant plusieurs facteurs qui pourraient aider le Parti socialiste vers un retour aux urnes. D’une part, la Grande Guerre du Pétrole de 2100 devrait largement dominer les débats durant plusieurs dizaines d’années, et la plupart des rivaux politiques du PS auront du mal à proposer des solutions efficaces et concrètes. « Ensuite, il y a les épisodes douloureux du réchauffement climatique et de la montée des eaux, souligne Amandine Collin, experte en géopolitique à La Sorbonne, et juste ensuite la Grande Guerre Atomique qui devrait vraisemblablement causer la mort de plusieurs milliards d’individus dont une grande partie d’adhérents des fédérations socialistes » .
« Cela prendra des centaines d’années pour reconstruire le tissu local des fédérations, fédérations qui seront pour certaines livrées à elle-même: guerre, pillage, anthropophagie, rien ne sera épargné » ajoute une spécialiste. Mais tous les experts sont d’accord pour souligner que dans les années 3500, le Parti socialiste sera de nouveau sur le devant de la scène. « Les traumatismes récents, notamment les épisodes successifs de réchauffement et de glaciations, auront largement fait oublier toutes les dérives et critiques des deux quinquennats de François Hollande. Il sera tout au plus assimilé à une chanson de geste ou à une figure légendaire » explique cette professeur de géopolitique de l’université de Dauphine.
Dès lors, et dans l’optique que l’humanité soit à même de préparer, planifier, organiser des élections et que des êtres doués de raison et de logique, voire de conscience politique, soient encore capable de penser, rédiger et lire un programme électoral, oui, le Parti socialiste créera la surprise. « Mais bien sûr, ça reste une hypothèse » tempèrent les experts, qui refusent de donner trop d’espoir sur l’imminence de cette vague rose.
La Rédaction