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Le Gorafi toujours sans nouvelle de son journaliste parti en immersion dans la mort

Paris – C’est une grande inquiétude qui règne au sein de la rédaction du Gorafi. Alors que l’ équipe avait choisi d’envoyer son meilleur journaliste d’investigation en immersion dans la mort, ce dernier ne donne toujours aucune nouvelle. Reportage.

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Il avait été envoyé afin de tester la mort pour un dossier spécial du Gorafi Magazine, et depuis, Basile Sangène, journaliste talentueux de 43 ans, n’a montré aucun signe de vie. À la rédaction, c’est l’inquiétude qui règne : « Quand est-ce qu’il va nous envoyer ces photos ? » répète ainsi notre collaboratrice Constance Deplanque.

En attendant, l’équipe est très déçue. « Nos lecteurs comptent sur le seul média français indépendant pour en savoir plus sur la mort, mais nous ne serons peut-être pas en mesure de publier un reportage sur l’Au-delà dans les prochains jours» a déclaré Jean-François Buissière, Directeur de la rédaction.

Un potentiel problème de connexion

« C’est fou qu’aujourd’hui, il n’y ait pas le wifi dans l’Au-delà. » s’étonne-t-on à la rédaction. Mais cette impossibilité de connexions ou d’envoi de données laisse craindre cependant l’hypothèse de l’absence d’internet, de 4G voire de la 3G dans la mort. « Il a peut-être un problème de téléphone. Enfin, on espère. » confie l’un de nos collaborateurs.

D’autres y voient plutôt une volonté pour Basile de ne rien laisser perturber son immersion. « Quand vous vous rendez dans des zones hostiles, vous devez faire très attention. Il applique soigneusement t ces règles, il doit être en train de prendre des notes, à l’ancienne, et des photos discrètement » souligne notre collaborateur Paul Regard à la machine à café.

Mais le problème principal du Gorafi News Network, c’est surtout le salaire du journaliste, qui lui est toujours versé et ce depuis six mois. Et « nous, on va pas payer un correspondant longtemps dans la mort s’il ne nous donne pas de signe de vie. » a déclaré un membre de la direction ce matin. « Les employés sont toujours trop payés » a ainsi conclu Jean-François Buissière.

La Rédaction

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