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Inquiétude en Europe après la découverte de plusieurs traces de démocratie sur des bulletins de vote grecs

Athènes – Après la victoire du non en Grèce, on apprend ce matin qu’en outre, plusieurs traces de démocratie auraient été relevées sur des bulletins de vote. Une découverte qui pourrait relancer le débat sur la présence de démocratie à l’air libre en Europe. Reportage.

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Athènes – Après la victoire du non en Grèce, on apprend ce matin qu’en outre, plusieurs traces de démocratie auraient été relevées sur des bulletins de vote. Une découverte qui pourrait relancer le débat sur la présence de démocratie à l’air libre en Europe. Reportage.

L’Union Européenne affirme ainsi que ces traces de démocratie sur les bulletins sont plus vraisemblablement dues à une contamination accidentelle et résiduelle. « Il est fort probable que ces traces ont été déposées au moment du dépouillement des bulletins par une personne qui avait été en contact avec une souche de démocratie, ailleurs » affirme un membre de conseil de l’Europe. Mais pour d’autres spécialistes, cela pourrait être une action délibérée d’un ou plusieurs individus, voire d’un groupe très organisé et préparé. « Ces personnes mal intentionnées ont probablement cultivé de la démocratie secrètement ou pire, l’ont faite entrer illégalement sur le territoire grec avant de la déverser de manière totalement irresponsable dans les bulletins » estime une source.

« C’est dramatique, de la démocratie à l’air libre, la décontamination du pays prendra des années ! » s’alarme Bruxelles qui souhaite que tous les bulletins contaminés soient immédiatement détruits et un périmètre de sécurité mis en place autour des lieux de vote. De son côté, la Grèce maintient que ces traces ne sont pas des cas isolés et prétend en avoir retrouvé dans plusieurs milliers d’urnes. Cependant, les spécialistes grecs soulignent quant à eux que ces traces de démocratie ne représentent aucun danger pour la santé, bien au contraire. « Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas observé la démocratie dans son milieu naturel, nous avons réussi à conserver les souches de démocratie les plus solides pour les cultiver en laboratoire ».

Une annonce qui n’a pas rencontré les faveurs de la Commission européenne qui a donné à Athènes jusqu’à demain minuit pour détruire ces souches. Ceci dans la crainte qu’elles ne tombent entre des mains mal intentionnées.

La rédaction

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