Société

Paris – Sa famille n’avait pas envie de savoir qu’il s’était mis au sexe tantrique

Yann, père de famille dans la quarantaine, ne cesse de créer le malaise dans sa famille en parlant de sa nouvelle passion pour cette forme de sexualité d’origine indienne.

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Afin de se consacrer pleinement à cette philosophie orientale dont ses enfants regrettent d’en avoir appris l’existence, Yann a démissionné de son travail. « Je suis en retard sur mon loyer mais la partie méditation est très agréable », dit-il en référence à ses exercices de respiration qui font résonner ses narines poilues dans tout le foyer.
Yann étant divorcé, ses filles n’ont malheureusement parfois que lui vers qui se tourner, comme nous le raconte sa plus âgée : « J’ai juste mentionné mes règles et il m’a expliqué comment satisfaire mon copain avant de me faire un chant indien », raconte l’adolescente en se remémorant le premier PowerPoint de son père consacré à sa nouvelle passion.

« Il est important de communiquer son énergie à sa partenaire », explique devant son fils ce quadragénaire plein d’énergie négative depuis son divorce. « Au départ je m’y suis juste intéressé pour avoir plus de plaisir », poursuit-il sans l’accord de son enfant entre deux exercices de Kegel. « Mais après j’ai compris qu’il était beaucoup question de voir sa partenaire comme autre chose qu’un simple objet de désir », a-t-il enfin précisé en ouvrant ses chakras alors qu’il n’avait auparavant jamais pensé à se concentrer sur le plaisir de ses partenaires.

Pour les vacances d’été, son fils et ses deux filles ont décidé de fuguer plutôt que de le suivre dans un séminaire d’une semaine dans le Rajasthan.

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