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Culture

La dette de talent de Kev Adams pourrait atteindre 100% du PIB artistique à l’horizon 2020

La dette de talent de Kev Adams n’en finit plus de se creuser au point que celle-ci pourrait atteindre 100% du PIB artistique en 2020.

Publié le

 mar 


Résorber la dette de talent de Kev Adams s’apparente à un véritable casse-tête pour le gouvernement et les solutions envisagées pour tenter de la diminuer diffèrent d’un politique à l’autre. Pour le Premier ministre, Edouard Philippe, des mesures d’austérité s’imposent : « Il faut tout faire pour empêcher Kev Adams de se produire trop souvent afin de cesser de creuser encore davantage le déficit et essayer de le ramener à 3% dans un premier temps ». Pour la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, il faut au contraire engager une politique de relance artistique en incitant les jeunes talents à aller au bout de leur projet artistique.

« Se contenter de limiter la dette artistique ne suffira pas et peut même se révéler contre-productif, surtout que si l’on voit moins Kev Adams, nous n’avons aucune garantie solide sur ceux qui le remplaceront médiatiquement. On n’est pas à l’abri d’une percée de Jeff Panacloc ou d’un retour de Larusso » explique la ministre.

En attendant, les spéculations sur la dette de Kev Adams vont bon train et ne sont pas sans rappeler celles autour de Roland Magdane qui avaient permis à un fonds d’investissement américain d’empocher en quelques années la coquette somme de 91 milliards d’euros.

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