Sciences
La science : « On s’intéressera aux règles quand les hommes seront touchés »
Interrogée récemment par un magazine féminin, la science a expliqué qu’elle ne pouvait pas se consacrer à un sujet qui ne concerne qu’une minorité de la population. Reportage.
Des chercheurs déjà très occupés.
Ainsi, Paul, jeune chercheur s’estime pour l’instant très content des avancées déjà réalisées. Il cite notamment les mycoses et le clitoris qui ont été découverts l’année dernière par un groupe de scientifiques américains. Par ailleurs, de manière plus générale, la science se dit actuellement très absorbée par des sujets d’envergure comme l’étude du fromage de chèvre, un sujet qui va lui prendre l’essentiel de son temps pour le six prochains trimestres à venir.
Un sujet qui a du mal à attirer les investissements
Au-delà du manque de temps, on constate aussi un manque de moyens financiers alloués à cette recherche. L’année dernière, seulement six euros ont ainsi été versés par l’Europe pour plancher sur le sujet et un autre don anonyme de 12 euros a été recensé par nos journalistes. Un autre chercheur témoigne : « Honnêtement, on préfère se consacrer à la calvitie et aux problèmes d’érection par solidarité pour les copains ».
Les marques mobilisées
Depuis peu, quelques marques s’emparent du sujet. Sandra de « My Holy » témoigne : « Grâce à notre campagne pour les culottes absorbantes, les hommes ont compris que les règles sont rouges et non bleues, certains ont même arrêté de croire que c’était du jus de cerise ! ». C’est peut-être le début d’une prise de conscience.
En attendant que les hommes aient leurs règles et que les recherches avancent, les femmes devront continuer de se tordre de douleur et avec le sourire, en évitant de tacher leur pantalon et surtout le mobilier.
