Politique
Un documentaire montre que François Hollande serait en réalité trois garçons de 8 ans dans un costume
Des images tournées il y a quelques semaines dans l’intimité de l’Elysée révèlent une surprise de taille : ce sont trois petits garçons de CE1 qui incarnent le président de la République depuis novembre 2014, juchés les uns sur les autres. Leur bilan, contrasté, ne laisse pas indifférent.
En obtenant enfin l’autorisation officielle de filmer le quotidien du président pendant 1 semaine, Charlotte Schaff s’attendait à beaucoup de pluie et quelques temps forts, mais certainement pas à un tel scoop. « Je n’en reviens toujours pas », s’exclame la jeune reporter freelance. « Ils sont trognons ces 3 bouts de chou ! ».
Alexandre, Quentin et Louis : 24 ans à eux trois, et de l’ingéniosité à revendre ! Entrés dans le palais de l’Elysée dans le cadre d’une sortie de classe, les bambins profitent d’un moment d’inattention de leurs accompagnateurs pour s’introduire dans le Salon doré et rouler le président dans un tapis avant de l’enfermer dans un placard à balais.
Ni vu ni connu, les trois compères s’installent sans mal dans leur nouvelle fonction et mettent immédiatement en œuvre le projet qui leur tient le plus à cœur : la suppression des notes à l’école, et leur remplacement à terme par des gommettes à l’effigie d’animaux et de super-héros – deuxième volet encore méconnu de la réforme, qui doit être annoncé d’ici peu par la ministre de l’Éducation nationale.
La gauche salue un bilan « conforme à ses habitudes »
Pour le reste, le trinôme s’attache à ne rien changer à la politique de leur « prédécesseur », afin de ne pas éveiller les soupçons : ils poursuivent avec application sa dégringolade dans les sondages, et s’échinent tant bien que mal à maintenir marasme économique, marché de l’emploi saturé et administration sclérosée.
Mais depuis la découverte du pot aux roses ce lundi, le PS s’interroge sur la suite à donner à cette situation « inattendue, mais pas catastrophique ». Les cadres du parti saluent en effet un bilan « somme toute assez conforme à ce que l’on pouvait attendre de ce quinquennat ». Quant à la question d’une éventuelle candidature des trois galopins à la primaire socialiste, l’entourage du président reste prudent : « il faudra voir ça avec leurs parents ».