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Société

À 58 ans, il croit encore « dur comme fer » que son groupe de reggae va « bientôt faire un malheur »

Pour Christophe SubiIle, ce n’est qu’une question de temps. Si le groupe de reggae qu’il forme avec deux amis de lycée n’a pas encore percé, il est cependant persuadé que le succès est tout proche.

Publié le

 mar 


« J’y crois dur comme fer : je sais que notre groupe va bientôt faire un malheur. La qualité finit toujours par payer », déclare cet habitant de Châteauroux (Indre) avant d’ajouter : « Il faut le temps que le groupe se lance, ça ne fait que 40 ans qu’on a commencé ». Pour le Castelroussin, lui et ses amis d’enfance sont également victimes d’une mauvaise image du reggae : « Les gens pensent qu’on ne fait que fumer de l’herbe alors qu’en réalité, on consomme aussi beaucoup d’autres drogues ».

Une mauvaise image du reggae

Selon Christophe, si peu de groupes français de reggae parviennent à faire carrière, c’est aussi dû à l’image de « glandeurs » qui y est souvent associée. Un cliché injustifié : « Avec mes potes, on est des hyperactifs, on n’arrête pas de bosser. On prend même pas de petit-déj quand on se lève, dès 16 heures, on est sur le pont ». Enfin, pour Christophe, le reggae doit simplement attendre son heure : « Les gens sont à la recherche de nouveaux styles, de nouvelles musiques, c’est pour ça que j’y crois encore ». D’ailleurs, le meilleur est à venir : « Là,  j’ai négocié un emplacement à Déols pour la fête de la musique, on va cartonner, on va tout miser sur la surprise : des reprises de Bob Marley et un inédit qu’on a écrit à trois : « Il faut légaliser la ganja » ».

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