Société
Il prend une année sabbatique pour faire le tour de la pollution mondiale
Paris. Aymeric Sipard, un jeune étudiant de 22 ans, a décidé de prendre une année sabbatique pour partir à l’aventure et explorer la pollution mondiale.
« J’ai passé toutes mes vacances en France depuis que je suis tout petit, dans des endroits très différents. Je connais donc par cœur la pollution nationale, et j’avais envie de voir autre chose » se justifie-t-il. « Les particules fines, c’est bien, mais il y a tellement d’autres choses à voir dans le monde, j’ai envie de ne rien me refuser : ni les nuages de pollution de Pékin ou de Mexico, ni le pic de radiation de Fukushima, ni la catastrophe pétrolière du delta du Niger » poursuit-il, avant d’ajouter : « Mais je n’oublie pas non plus la pollution du Bangladesh, de l’Indonésie ou encore de la Zambie ».
« Découvrir la malbouffe des autres pays »
« Voyager, c’est aussi se laisser surprendre. Faire le tour de la pollution mondiale me permettra de découvrir plein d’autres choses, j’en suis sûr, j’ai déjà hâte de connaître la malbouffe des autres pays » glisse Aymeric. « je suis aussi curieux de voir les autres impacts négatifs de la mondialisation sur toute la surface du globe » s’enthousiasme l’étudiant.
Ce long voyage ne sera que le début d’une vie bien remplie pour l’étudiant qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Après cette année sabbatique, il espère en effet réaliser un autre de ses rêves : faire le tour du continent de plastique en bateau.