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Société

Saint-Germain-des-Prés – violentes émeutes après qu’un dealer a baissé le prix du gramme de cocaïne de 70%

Hier soir, de violentes émeutes ont eu lieu dans une boîte du sixième arrondissement de Paris, après qu’un dealer a baissé le prix de sa cocaïne de 70%. Récit.

Publié le

 mar 


« C’était un bêtise… On se dit que ça n’arrive qu’aux autres, mais il n’y a pas qu’avec le Nutella à Intermarché que les hommes peuvent devenir fous et violents… même si j’avais bu, je ne me suis pas reconnu. Quand on nous a dit que la coke était à -70% je me suis jeté sur le dealer, j’ai bousculé tout le monde. J’aime tellement ça ! Et c’est tellement cher d’habitude ! J’ai même mis un coup au visage de mon meilleur ami, quelle tristesse… » soupire Hugo, journaliste, qui était présent dans cette boîte de nuit de Saint-Germain-des-Prés le soir des émeutes.

Le Dr. Davost, sociologue spécialisé dans la psychologie des foules, analyse ce débordement qui a scandalisé la France entière : « Que ça soit pour de la pâte à tartiner, des couches, du café ou de la cocaïne, l’être humain ne sait pas résister à la possibilité de posséder pour moins cher un produit qu’il adore et consomme quotidiennement. Il n’y a pas de différence de classes dans ces moments là. La bêtise est universelle ».

« Franchement les débordements ce n’est pas mon problème » nous confie Frédéric, le fameux dealer casseur de prix, tout en s’éventant avec une liasse de billets. «  Cette affaire me fait une pub énorme, et c’est comme ça que marchent les affaires. Alors je vais continuer. D’ailleurs, j’annonce que dès vendredi je vais traîner devant les facs de Saint-Germain-des-Prés et proposer aux étudiants, pour le week-end, -70% sur la MDMA. Je conseille aux moins costauds de se muscler d’ici là ! ».

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