Société
Plusieurs bonnes nouvelles accidentellement publiées dans la presse ce matin
France – Plusieurs médias auraient accidentellement publié des bonnes nouvelles ce matin avant de les retirer immédiatement. Des informations à connotations largement positives qui ont dans un premier temps choqué les lecteurs qui ne s’attendaient certainement pas à cela.
France – Plusieurs médias auraient accidentellement publié des bonnes nouvelles ce matin avant de les retirer immédiatement. Des informations à connotations largement positives qui ont dans un premier temps choqué les lecteurs qui ne s’attendaient certainement pas à cela. « J’ai regardé la une de mon journal ce matin, et j’ai ressenti un malaise » explique Amandine, 25 ans. « La bonne nouvelle était un encadré sur le bord de la page. Elle était là je l’ai vue, ils ne peuvent pas nier ». Même surprise pour Ali, 42 ans, qui dit avoir vu passer plusieurs bonnes nouvelles sur des comptes Twitter de médias. « J’ai fait des captures d’écran, je n’arrivais pas à le croire ».
Plusieurs journaux, médias et internet, auraient repris ces bonnes nouvelles, sans procéder aux vérifications d’usage. Des lecteurs estiment avoir été abusés par ces publications et qu’on s’est joué de leur confiance. « Le monde va mal et des gens publient des choses positives. Il n’y a plus aucun respect, nulle part » commente François, boucher tapissier dans le 5e arrondissement de Lyon.
Les experts mettent en garde contre ces publications qui pourraient saper le moral des Français et qu’ils n’hésitent pas à assimiler à de la diffusion de fausses informations. « Objectivement, les choses vont très mal. Prétendre le contraire est irresponsable. Les gens qui ont fait cela doivent avoir conscience qu’ils sont allés trop loin » .
Dès confirmation qu’il s’agissait bien d’un accident, les esprits ont vite retrouvé leur calme pour retomber dans une certaine panique intérieure parfaitement huilée. De leurs côtés, les médias qui sont mis en cause rejettent les accusations et parlent de dysfonctionnements extérieurs au sein de leurs imprimeries. Les soupçons se dirigent vers des ouvriers syndicalistes en colère qui en signe de protestation auraient glissé les bonnes nouvelles dans les journaux.
La Rédaction